top of page
FAQ - Foire aux questions
Des réponses à des questions fréquemment posées
-
Qu'est-ce que la résonance morphique ?Le principe de champ morphique existe depuis bien longtemps. Il est plus particulièrement étudié depuis une cinquantaine d'années par le scientifique anglais Ruppert SHELDRAKE, dont je recommande des livres comme : - "Ces chiens qui attendent leur maître" - "La mémoire de l'univers" Les champ morphique est un champ invisible dans lequel s'enregistrent toutes les informations liées aux structures physiologiques de notre temporalité, mais également tous les éléments virtuels tels les pensées ou les paroles. Il est donc en constante expansion, à l'image d'un immense "Cloud" qui enregistre les éléments du monde visible et invisible depuis la nuit des temps. Ces information influencent la forme et le comportement des systèmes biologiques, des minéraux aux animaux et aux plantes, en passant par les humains. Ces champs contiennent donc une mémoire collective dans laquelle les organismes puisent les informations pour former leur propre structure ainsi que leur comportement. On peut expliquer ainsi l'attitude des chiens qui soudain annoncent l'arrivée de leur maître qu'ils n'ont pas vu depuis plusieurs semaines. On peut également expliquer ainsi les facultés des animaux migrateurs. Les exemples sont innombrables pour venir corroborer ce principe. La résonance morphique représente ainsi la capacité des humains ou des animaux à percevoir ces informations et à adapter leur attitude. Dans le prolongement de la résonance morphique, nous trouvons la résonance émotionnelle, puisque chaque perception produit une émotion de nature positive ou négative. Les chevaux réagissent ainsi aux informations qu'ils perçoivent de manière induite de la part des personnes qu'ils croisent. Comment expliquer autrement l'attitude changeant et bienveillante de certains chevaux vifs au contact de personnes handicapées ou vulnérables ? Comment expliquer l'attitude de chevaux qui perçoivent la nature de personnes en fin de vie (je pense notamment à Peyo, le cheval de Hassen Bouchakour). Si les chevaux répondent aux stimulis mécanistes et techniques, ils réagissent avant tout aux informations qu'ils perçoivent par résonance morphique. Il nous connaissent ainsi mieux que nous ne nous connaissons nous-même.
-
Résonance morphique et équitation mécanisteLes chevaux réagissent par résonance morphique et émotionnelle. Mais bien entendu, les actions mécanistes de soumission prédominent. Ils perçoivent par résonance morphique la personnalité profonde des humains. Les chevaux collaborent naturellement avec les humains par une empathie à ne pas interpréter de manière anthropomorphique. Pourquoi utiliser des moyens coercitifs créant inconfort et douleurs sur des animaux qui ne demandent pas mieux que de collaborer ? Les vraies réponses se trouvent dans la compréhension de l'esprit des chevaux, dans l'apprentissage d'un langage cognitif inter-espèces et ensuite dans la connaissance des préceptes des traditions équestres, mais dénués de toute coercition.
-
Pourquoi le langage est-il lié à la conscience ?Votre cheval réagit avant tout par résonance émotionnelle. Ses attitudes sont en harmonie avec votre état de conscience. De fait, il est essentiel d'apprendre à contrôler nos propres pensées et nos émotions afin de créer le préalable optimal à une relation harmonieuse et positive.
-
Langage conscient ou langage mécanisteSoit vous parlez à votre cheval selon un langage de conscience à conscience, vous permettant de construire une relation harmonieuse établie sur le principe de "référent" par un langage cognitif, soit vous restez dans le principe mécaniste du paradigme équestre qui "soumet" le cheval par des moyens matériels. N'oubliez jamais que le cheval dispose d'une conscience, d'une intelligence, d'une hyper sensibilité et de capacités cognitives. Prenez conscience que tout inconfort et toute douleur activent naturellement l'instinct de fuite. Analysez les matériels que vous utilisez et réalisez leurs effets dans la perception physiologique et psychologique de votre cheval. - noseband - muserolles serrées - gourmettes serrées - mors sévères - enrênements de tous types - éperons - martingales - etc ... Par son intelligence, le cheval comprend égalements "QUI" tire sur les rênes et il associe alors votre présence aux inconforts et aux douleurs qu'il subit par l'utilisation des matériels coercitifs.
-
Conscience et fréquences cérébralesDe par nos incessantes conceptualisations mentales, nous évoluons en fréquences cérébrales "Beta". Les chevaux vivent majoritairement dans le silence du mental. Ils ne conceptualisent pas et vivent ainsi en fréquences "Alpha". Nous devons ainsi apprendre à les rejoindre en conscience dans une zone mitoyenne entre ces deux types de fréquences.
-
Indisciplines ou peurs ?En cas de dysfonctionnement comportemental du cheval, il est important de diagnostiquer son origine. Celle-ci peut être liée à un défaut d'éducation, de langage ou à une altération de votre statut de "référent" ou encore à une perception des sens qui active l'instinct de fuite. Dans tous les cas, il convient de rétablir votre position de "référent". Celle-ci permet de contrôler autant l'éducation, l'apprentissage que l'instinct de fuite.
-
"Présence" et comportementL'instinct du cheval oscille entre la fuite ou la grégarité. Le positionnement du "curseur d'instinct" bouge en permanence au gré des événements de l'instant. Aussi, pour contrôler ses attitudes, nous devons devenir le "référent" qui se situe au-delà des comportements instinctifs. Cela passe par le contrôle de notre propre mental et de nos émotions afin de toujours émettre des informations positives permettant à l'instinct du cheval de tendre vers la grégarité (l'esprit de famille, de groupe qui incarne la sécurité, la cohésion). Dans le même temps, nous devons contrôler nos propres gestes ainsi que les mouvements du cheval. Nous devons ainsi adopter un état cérébral et psychologique "actif", tout en demeurant dans un état émotionnel apaisé. Nous devons ainsi maintenir l'attention du cheval sur nous à chaque instant afin de contrôler son mental par un langage adapté qui ne provoque ni inconfort, ni douleur. La confiance et l'unité de conscience qui en résultent permettent d'absoudre toutes les peurs et toutes les craintes.
-
Réactions inexpliquéesLes chevaux réagissent par analyse de chaque situation de l'instant. Si celle-ci lui rappelle une mauvaise expérience, il réagira par la fuite selon son instinct au même titre qu'un événement imprévu qui lui fait peur. Ces attitudes sont souvent interprétées à tort comme des "défauts de discipline". Rappelez-vous que les chevaux réagissent également par résonance morphique. Par exemple, un événement ancien laisse une empreinte mémorielle qui pourra être perçue par le cheval par résonance morphique, tel un accident, un mouvement de panique, une frayeur collective, etc ... Selon le principe morphique, rien ne disparait. Seule la nature des consciences individuelles permet de percevoir ou de ne rien ressentir. Mais ce n'est pas parce que nous ne voyons pas les choses qu'elles n'existent pas. C'est ainsi que des chevaux réagissent à des endroits qui pourtant ne présentent aucun danger apparent au moment présent. Tout événement reste inscrit dans le champ morphique et les animaux le perçoivent, y compris les chevaux. La plupart des humains ont perdu ce sens "animal" de par leurs activités mentales qui brouillent les perceptions intuitives. D'un point de vue pratique, dans ces cas, seul le calme et le rétablissement de la posture "référente" permettront de reprendre le contrôle de la situation. Toute réaction vindicative ou correctrice ne fera qu'amplifier le problème.
-
L'importance du travail à piedL'éducation, l'équilibre, le langage, la rectitude et les airs d'incurvation du cheval se travaillent au sol, le cavalier à pied. Tous les éléments cognitifs se préparent par le travail à pied qui génère langage, respect et confiance. Bien entendu, tous les exercices se travaillent en faisant appel à l'intelligence, à la sensibilité et à la mémoire positive du cheval, sans aucune coercition.
-
L'importance du travail de longeLa travail de longe représente incontestablement l'exercice préparatoire le plus important. Toute la base biomécanique et d'équilibre se construit à la longe, bien entendu sans aucune contrainte de position (sans enrênements). Celle-ci doit toujours être fixée sur un licol et en aucun cas sur un élément coercitif qui agit sur le chanfrein (caveçon) ou qui bloque la liberté de la mâchoire (muserolles serrées) et encore moins sur le mors. N'oublions jamais que nous faisons appel à l'intelligence du cheval. Tout inconfort et toute douleur exacerbent l'instinct de fuite rendant impossible toute communication cognitive. Le cavalier au sol doit se positionner comme un binôme et non comme un élément arbitraire. Chasser le cheval sur la piste revient à exacerber son instinct de fuite et vous allez directement aux antipodes du but recherché. Il est important également de rester à l'écoute des demandes et du tempérament du cheval. Si le cheval aime les rituels, il déteste les routines. Les séances doivent être variées.
-
Répétitions et routinesComme nous, les chevaux détestent les routines qui annihilent leur motivation et leur générosité. Les séances de travail doivent être variées. En réalité, les chevaux doivent "s'amuser" tout en apprenant. Tout comme nous, ils apprennent mieux et plus vite dans un esprit de plaisir et de variation. Quand bien même les exercices peuvent être identiques, leur ordre de travail peut être interchangé afin de ne pas créer de "chevaux automates".
bottom of page