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Des niveaux de conscience

En évoquant les aspects psychologiques et intellectuels des personnes, les spécialistes parlent des états et des affections psychologiques qui modifient ou qui altèrent les comportements. Ceux-ci se trouvent directement liés aux éléments génétiques eux-mêmes conditionnés par les origines des Êtres dans leur interprétation sociologique ou ethnique. En rajoutant le paramètre QI (quotient intellectuel) on obtient une carte d’identité psycho-socio-intellectuelle des individus. Les professionnels du marketing ou de la politique connaissent parfaitement ces leviers qui permettent de diriger les choix des consommateurs ou des électeurs.

Le paramètre « conscience » semble être interprété telle une constante invariable. Le principe de vie inhérent se trouve de fait considéré de manière binaire. Il est associé voire amalgamé à l’esprit de vie et soit il est présent et l’Être est vivant, soit il est absent et l’Être est mort. Cette vision mécaniste semble simpliste car elle ne tient aucunement compte d’un paramètre essentiel : le niveau de conscience. En effet, la notion même de niveau de conscience reste subjective et de fait l’aspect expérimental indispensable au crédit scientifique ne peut créer d’échelle arithmétique de valeurs.

Si l’esprit de vie confère à chaque Être une existence temporelle, sa conscience est évolutive, tant pour les animaux que pour les humains.

La conscience de l’animal peut déjà se scinder en deux types :

- celle des animaux sauvages, théoriquement ineptes à une communication empathique avec les humains.

- celle des animaux domesticables, autrement dit, aptes à créer des relations empathiques particulières avec les humains en général (par exemple le cheval, l’éléphant, le dromadaire, …) voire spécifiques avec les individualités humaines (le chien).

Si le principe d’empathie semble convenir étymologiquement, il faut être prudent dans l’utilisation de ce terme qui ouvre souvent des chemins d’interprétations anthropomorphiques.

Les animaux dits sauvages vivent fondamentalement selon des règles régies par leur instinct soit de prédateur, soit de proie.

La plupart doivent conjuguer leur existence en alternant l’un ou l’autre état, car rares sont ceux qui n’ont aucun prédateur.

De par la nature de leur conscience, la plupart des animaux ne conceptualisent pas. Ils analysent les situations de l’instant au prorata de leur programmation génétique, de leur instinct et de leurs expériences cumulées.

Nous parlons ainsi d’un niveau de conscience « ordinaire », commun à tous les membres d’une même espèce.

Les animaux domesticables présentent une conscience d’emblée ouverte à la communication avec le genre humain.

De fait, leur conscience peut évoluer dans le cadre d’une relation intelligente.

C’est tout à fait identique pour les humains qui ne sont en réalité que des mammifères disposant d’un niveau de conscience spécifique. Ils sont à la fois prédateurs et proies, tant pour eux-mêmes, pour leur espèce que pour toutes les autres espèces temporelles.

Mais au-delà des interprétations psychologiques, psychiatriques, sociétales, spirituelles ou romantiques, la conscience est d’abord l’écho d’un récepteur et d’un émetteur qui fonctionne selon des fréquences à intensités variables, au gré des charges émotionnelles produites au fil des expériences de vie.

Car dans l’infiniment petit, tout est énergie et l’énergie est avant tout une résonance.

Nikola TESLA disait :

« Si vous voulez trouver les secrets de l'univers, pensez en termes d'énergie, de fréquence, d'information et de vibration. »

Et il a rajouté :

« Le jour où la science commencera à étudier les phénomènes non physiques, elle fera plus de progrès en une décennie que dans tous les siècles précédents de son existence. »

Nous résonnons ainsi avec notre temporalité et avec l’universalité.

Albert EINSTEIN disait :

« Le drame des humains c’est de considérer qu’ils sont tous dissociés. »

En réalité, toute énergie s’accompagne d’une information. Elle n’existerait pas sans cela. Elle est ainsi identifiée.

Isaac NEWTON disait :

« L’énergie ne disparait pas, elle se déplace ou se transforme. »

La grande question est la suivante :

D’où vient cette énergie et par conséquent les informations qui l’accompagne? »

En ramenant la question à notre sujet :

« Qu’est-ce qui anime et nourrit les consciences individuelles ? »

Scientifiquement, la théorie du champ morphique, un champ d’informations et d’énergies semble proposer un schème acceptable intellectuellement.

De nombreux chercheurs travaillent en ce sens depuis de nombreuses décennies, parmi eux Rupert SHELDRAKE auteur de nombreux ouvrages dont « La mémoire de l’univers ».

Ce champ représente ainsi la causalité formative de toute chose, matérielle et virtuelle, microscopique et macroscopique.

Et en intégrant ce principe au raisonnement intellectuel, nous sortons des ténèbres de certaines explications qui reposent sur des principes de « génération spontanée » ou autres tergiversations sans fondements.

Car le principe d’intrication des éléments ouvre des champs de compréhension qui élimine d’emblée toute notion de hasard.

Aussi, la conscience individuelle, fusse-t-elle animale ou humaine est invariablement liée aux informations contenues dans le champ morphique et traduites par des attitudes instinctives d’espèce ou de potentialités d’évolution pour les humains. Toute intention, toute pensée, toute parole et toute action se trouve inscrite dans ce champ en expansion constante depuis les origines.

Les spiritualités fondamentales dans leur expression mystique et opérative évoquent ces évolutions de conscience.

Catherine DESPEUX, universitaire et chercheure spécialiste du taoïsme explique parfaitement dans « Le chemin d’éveil » la modification d’état de conscience qui s’opère par l’accès à des enseignements et surtout à des pratiques spécifiques. Le taoïsme illustre cela par une allégorie du dressage du cheval, de l’éléphant et du buffle.

Le Dzogchen tibétain donne des enseignements de même nature. Et la conscience éveillée des moines tibétains n’est plus à démontrer.

Ces modifications de conscience autorisent les moines Shaolins à accéder à des pouvoirs du corps complètements extraordinaires au regard des capacités physiques du commun des mortels.

Mais point besoin d’aller en extrême orient pour trouver ces enseignements. Ils existent également en occident notamment dans le christianisme primitif qui rassemble des pratiques opératives dénuées de tout dogmatisme limitatif.

La science endocrinologique explique désormais tous les processus produisant des expériences mystiques.

Car nous disposons forcément en notre organisme une « antenne » émettrice et réceptrice de toutes ces informations.

Nous sommes tous des émetteurs et des récepteurs vibrant à des fréquences spécifiques. Car tout est énergie.

Les anciennes doctrines hermétiques, l’alchimie ainsi que toutes les spiritualités sérieuses ont identifié la glande pinéale depuis la nuit des temps. Les bâtisseurs des pyramides de l’Égypte antique disposaient déjà de ces connaissances. Le symbole de la glande pinéale se retrouve dans toutes les spiritualités sérieuses. Et les sciences modernes savent parfaitement expliquer les causes et les effets de l’activation de la glande pinéale par sa décalcification.

Selon de nombreux scientifiques, en réalité, notre monde réel ne représente que 4 à 6% de ce qu’il existe en réalité.

Il reste donc une infinité de choses à découvrir, non pas par curiosité, mais pour comprendre l’organisation de la vie, des lois universelles qui régissent la temporalité dans le but de donner un sens à l’existence, de choisir notre chemin et notre destinée car le libre-arbitre existe à condition de comprendre ces lois et parmi elles, la loi d’attraction qui dépend directement de la loi de compensation. A défaut, nous restons le jouet d’une pseudo destinée liée à un hasard sans fondement.

Ainsi la conscience individuelle peut évoluer non pas seulement de manière accidentelle au fil des expériences de la vies ou de l’acquisition de connaissances intellectuelles, mais également par des exercices pratiques permettant d’ouvrir volontairement le chemin d’accès à ce champ d’information et d’énergie que nous appelons champ morphique.

L’éveil de la conscience s’apparente donc à une variation volontaire des fréquences qui l’animent.

Ces exercices sont accessibles à n’importe qui. Le plus difficile étant de décider de commencer en cassant le cycle des habitudes quotidiennes et en acceptant de briser les principes de formatage intellectuels et sociétaux qui forment les barreaux d’une prison dans laquelle la plupart restent volontairement enfermés.

Différents chemin existent, mais is se rejoignent tous dans la pratique.

La chevalerie représente une voie particulièrement efficace et probante, car le cheval devient un maître-guide, le juge de paix qui confirme la réalité des enseignements et des pratiques.

Cela commence par l’apprentissage de l’alignement des fréquences cérébrales humaines avec celles du cheval.

Et tout à coup la magie opère. La relation devient transcendantale et tout devient simple. Car nous cessons ainsi d’être des marionnettistes qui essaient d’animer des objets. Nous faisons l’expérience de la fusion transcendantale. Et le cheval la confirme par ses attitudes, ses comportements, ses performances, sa générosité.

L’accès à la communication cognitive et consciente avec le cheval permet d’ouvrir ce chemin d’évolution, d’ouverture de conscience, l’accès au château intérieur que décrit avec génie Thérèse d’AVILA.

Les montagnes se rapprochent ainsi, les voies de communication s’ouvrent par delà les espaces, les espèces et les préjugés.

Ainsi la conscience évolue en permanence. Mais elle ne change que par l’expérience, celles involontaires des aléas de la vie ou de manière volontaire par l’accès à des enseignements et à des exercices pratiques spécifiques.

Si les expériences de la vie sont souvent accidentelles et parfois douloureuses, le chemin d’éveil volontaire est une voie de plaisir et de prospérité par la compréhension des règles et des lois universelles.

La magie n’existe pas. Elle ne représente que des effets que l’état des connaissances scientifiques ne comprend pas et ne peux pas expliquer.

Mais ce n’est pas parce que nous ne comprenons pas les choses qu’elles n’existent pas.

Otez vos oeillères, car le chemin d’éveil est avant tout une libération.

Libération d’esprit, libération de la créativité, libération de tous les dogmes, quels qu’il soient; libération des peurs primordiales.

L’accès à la compréhension des lois morphiques donne du sens au mot « respect ».

Les deux mots « liberté » et « respect » deviennent ainsi le Crédo de la temporalité individuelle et collective.

Mais à l’origine, tout est conscience, prise de conscience et niveau de conscience.

Comprenne qui pourra …

Francis Stuck




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